0 4 minutes 4 ans

Les sites spécialisés disent que c’est une technique chirurgicale très valorisante où les femmes retrouvent sécurité et estime de soi quand elles voient leurs seins rajeunis, plus pleins, plus symétriques dans leur thorax.

La mastopexie est souvent associée à une augmentation de volume avec les implants mammaires (mammoplastie d’augmentation), puisque le sein est vide, ou à une mammoplastie de réduction dans les cas où le sein est trop grand. « De cette façon, le décolleté de la femme est amélioré, dans le premier cas, et un résultat plus harmonieux et esthétique peut être obtenu dans la seconde situation »

Durée de l’intervention en clinique

La durée de cette intervention chirurgicale dépend de chaque cas, entre 2 et 4 heures. Les spécialistes en Chirurgie Plastique Reconstructive indiquent que  » c’est généralement une intervention peu douloureuse de nature ambulatoire (hôpital de jour) qui permet un rétablissement rapide du patient, avec un retour au travail entre 5 et 7 jours après. C’est pourquoi cette opération est de plus en plus demandée dans les consultations, représentant 30 % d’entre elles ».

Les résultats de cette technique durent-ils ?

Les chirurgiens rappellent que l’effet de cette intervention est durable dans le temps, « bien que l’hydratation et les traitements anti-gravitationnels semblables à ceux indiqués pour toute femme qui n’a pas subi de chirurgie sont recommandés, par l’application de crème hydratante après la douche et l’utilisation d’un soutien-gorge adapté. Bien que la réduction mammaire au fil du temps soit très dépendante des caractéristiques des tissus de la femme et de leurs soins, la mastopexie conserve généralement une forme et une esthétique plus rondes.

Quels sont les risques de cette technique ?

« Les risques de la mastopexie sont peu nombreux, à condition qu’elle soit réalisée par un spécialiste correctement formé en chirurgie plastique, esthétique et reconstructive ». Les chirurgiens soulignent qu’il existe des cas, comme par exemple chez les femmes qui fument, où des complications peuvent apparaître. « Chez les patientes qui fument, la microcirculation est très altérée, ce qui a pour réaction d’amener le sang vers les tissus pour cicatrisation. Quand plusieurs facteurs se conjuguent, comme la grande mobilisation des tissus qui doit se réaliser dans une mastopexie pour maintenir en vie le complexe aréole-mamelon en même temps qu’on le mobilise à sa position idéale, si en même temps, le tabac est présent, le risque de nécrose des tissus augmente exponentiellement ».

Une femme qui subit une mastopexie pourra-t-elle allaiter ?

« La sensibilité des seins et le complexe mamelon-aréole sont affectés dans la première phase de la période postopératoire, mais se rétablissent généralement de la même manière que la précédente en quelques semaines. La capacité d’allaiter ne peut être assurée après cette intervention, étant très dépendante de la technique utilisée en fonction du degré de chute et de l’état hormonal du puerpéral  »

En particulier, les techniques qui mobilisent peu de tissu (mastopexie périaréolaire et circumverticale) seraient plus compatibles.

Sites Internet à voir :

 

  1. https://www.chuv.ch/fr/cpr/cpr-home/patients-et-familles/chirurgie-plastique-et-esthetique/augmentation-mammaire/
  2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Implant_mammaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *